Ne vivent haut que ceux qui rêvent – Avec Xavier Grall
Ne vivent haut que ceux qui rêvent
Martyrs de l’aube nous avons étreint la sainteté des nuits chaudes, camarades
Restons sourds aux murmures pharisiens qui nous condamnent.
Rires et pleurs de l’Aven, Xavier Grall
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23,00€
254 pages au format 15 x 21 cm, sous couverture Rives Tradition
EAN : 978.2.8696.5201.9 / 2021, 2024
SOMMAIRE :
Yvan Guillemot, De Xavier Grall à Joseph Ponthus
Pascale Guillou, Portrait de Xavier Grall
« Seigneur me voici c’est moi »
Yvon Le Men, Est-ce qu’on prie quand on écrit…
Joseph Ponthus, À l’inconnue qui nous dévore
Manu Lann Huel, « Il est des soleils d’autrefois… »
Terez Bardaine, Lettre à Xavier Grall
Un Indien des Andes
Sophie G. Lucas, Si me crève la pluie
Jean-Michel Le Boulanger, Le regard de Xavier Grall
Philippe Chevallier, Xavier Grall, Le poète-gueule
Photographies de Gabriel Quéré
« Permettez que je retourne en Bretagne »
Michel Le Bris, Fils de rien, fils de roi
Jean Lavoué, La Galilée celtique de Xavier Grall
Alexis Gloaguen, Une glorieuse simplicité du vrai
Pierre Tanguy, Au pays natal
Gilles Cervera, Le vent des semelles
« Et parlez-moi de la terre »
Laure Morali, OR lettres perdues
Bruno Doucey, Lettre à l’inconnu dont la poésie me dévore
Éric Poindron, Le souffle et la foi
Katia Bouchoueva, Mille et deux cris
Stéphane Bataillon, Un coin de paradis
« mes Divines, je vous conjure d’admirer »
Marc Pennec, Trois chants menus
Bénédicte Guillou, Mes Divines
Pierre Adrian, «La bibliothèque de mon père…» .
Albane Gellé, « Xavier Grall homme-sœur… »
Alain-Gabriel Monot, J’ai assez de ciel
Nathalie Papin, Le poème de ma vie
Avec les voix de Jacques Gamblin & Yvon Le Men
Bibliographie par Annie Kerhervé
Notices sur les auteurs
Sources
Informations complémentaires
Poids | 0,345 kg |
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4e de couverture
« Hommes de l’avenir souvenez-vous de moi », crie Apollinaire dans le dernier poème d’Alcools.
Se souvenir de Xavier Grall, à l’occasion du quarantième anniversaire de sa disparition, c’est ce que vous entendrez dans cet ouvrage collectif. Vous entendrez aussi, en écho à la création contemporaine, une pluralité de voix singulières. L’une d’entre elles dresse, comme des stèles, les contours de sa géographie spirituelle. Une autre aborde la lecture de Solo par la notion stimulante d’« exomologèse ». Une autre fait, de l’étoffe de son nom, le porte-étendard de sa propre quête. Une autre nous convie aux « fiançailles des roses d’avec les oliviers ». Une autre lance énergiquement « son envie folle de vivre ». Une autre capte son inoubliable visage d’Indien des Andes. Une autre nous parle de son paysage (tant il est vrai que pour comprendre un poète, il faut avoir vu son pays natal). Une autre nous invite à la table de ses « Divines ». Une autre chemine dans la forêt avec son « Barde imaginé »…
Et puis, parmi les premiers poètes auxquels nous avons pensé, il y a Joseph Ponthus. Sa réponse, enthousiaste, fut immédiate : « la lecture de Solo (au moins six fois depuis hier) m’a littéralement bouleversé de justesse et de beauté. »
Que ce recueil, sur les chemins de l’amitié, soit aussi l’occasion de lui rendre hommage.